Les différents réseaux sociaux ont leurs caractéristiques propres, qui ont un impact sur l’utilisation. Aux Etats-Unis, une étude enregistre quel type de contenu est partagé le plus sur chacun des trois grands réseaux (Facebook, Twitter, Instagram).
Chaque plate-forme englobe d’autres thèmes de contenu qui, plus que d’autres sujets, incitent les utilisateurs à poster et à partager. Une étude de Buzzsumo and Fractl datant de 2014 (une analyse de 2,6 milliards de partages d’1 million d’articles) nous révèle ceci :
- Facebook : beaucoup de types de contenus différents ; divertissement, actualité et contenus commerciaux
- Twitter : culture pop
- Google+ : actualité mondiale et sectorielle/d’entreprise
- Pinterest : alimentation, habitat, santé, beauté
- LinkedIn : développement professionnel et business
Une étude australienne récente de RadiumOne nous en dit un peu plus sur les motivations sous-jacentes qui poussent à partager du contenu via les médias sociaux : « Social sharing provides the same release of dopamine that we get from other pleasurable experiences such as sex, eating and exercise. » Les gens en retirent un sentiment positif, plein d’espoir, qu’ils aiment réévoquer à chaque fois. Il s’avère dès lors qu’immédiatement après le partage d’information, ils sont le plus ouverts à d’autres messages pertinents.
Maintenant que la technologie permet de toucher les consommateurs à des moments et des endroits spécifiques, le contenu peut être accordé en conséquence. Cela crée une opportunité particulièrement intéressante pour les annonceurs. S’ils raccrochent leur message à un contenu partagé précédemment, ils sont presque sûrs de toucher un consommateur engagé. (Source : WARC)